Les douleurs au cou, ou cervicalgies, peuvent avoir de multiples origines. Elles peuvent être attribuables à une entorse cervicale, à un torticolis ou à de l’arthrose, par exemple. Bien souvent, elles s’accompagnent d’une raideur qui limite les mouvements du cou.
La douleur est parfois ressentie dans tout le haut du corps, en particulier au haut du dos et aux épaules. Les symptômes varient selon l’endroit atteint : les vertèbres, les tendons, les ligaments, les muscles ou les nerfs.
La plupart du temps, les douleurs au cou se dissipent en l’espace de quelques jours à quelques semaines (de huit à douze semaines au plus). Cependant, il se peut qu’elles durent plus longtemps si les vertèbres du cou sont touchées par l’arthrose ou par une autre maladie chronique, comme l’arthrite rhumatoïde.
Le cou est formé de sept vertèbres, dont le nom va de C1 à C7 (voir le schéma ci-dessus). Entre les vertèbres se trouvent les disques intervertébraux. Ces disques renferment un gel qui donne au cou sa mobilité et qui lui permet de mieux absorber les chocs. Sans les disques intervertébraux, on sentirait les vertèbres frotter les unes contre les autres. L’ensemble est entouré de muscles, de tendons et de ligaments, dont le rôle est d’assurer la stabilité, le soutien et la mobilité des articulations délicates de la colonne vertébrale. |
Prévalence
Si elle est moins fréquente que la douleur au dos, la douleur au cou touche tout de même de 10 % à 20 % de la population adulte.
Les troubles musculosquelettiques du cou à l’origine des douleurs affectent un nombre croissant de gens. Ce phénomène s’expliquerait surtout par le vieillissement de la population et par le fait que de plus en plus de travailleurs passent de longues heures devant l’ordinateur. Le lien entre l’utilisation de l’ordinateur et le mal de cou est probable, mais il n’y a pas de certitude sur le plan scientifique.
Types
Voici les causes les plus courantes de douleurs aiguës au cou (des douleurs qui durent depuis peu de temps, indépendamment de l’intensité de la douleur).
- Les tensions et les raideurs musculaires. Le fait de maintenir une posture durant plusieurs heures ou de faire des gestes répétitifs tout en ayant une mauvaise posture entraîne des contractions musculaires prolongées dans les épaules et dans la nuque, qui risquent de devenir douloureuses.
- L’entorse cervicale. On l’appelle communément coup du lapin ou whiplash. Elle peut survenir au moment d’un accident de voiture (en cas de mouvement de la tête vers l’avant, puis vers l’arrière) ou d’un fort impact pendant la pratique d’un sport. Le rétablissement se fait habituellement en quatre à six semaines. Des douleurs qui ne s’estompent pas sont le plus souvent causées par le manque de mouvement. En effet, les gens qui ont des douleurs cervicales sont portés à garder le cou immobile, ce qui augmente la tension sur les muscles.
- Le torticolis. Le torticolis résulte d’une contraction musculaire involontaire, d’un spasme, qui se produit sur le côté ou à l’arrière du cou. La tête reste coincée dans une certaine position. Tout mouvement du cou devient presque impossible. Le plus souvent, le torticolis survient soudainement, parfois dans une période de stress élevé. Plus rarement, il peut résulter d’une entorse ou d’une hernie discale.
Important. La méningite cause parfois de fortes raideurs au cou qui peuvent être confondues avec un torticolis. En cas de fièvre, de vomissements, de maux de tête graves et d’hypersensibilité à la lumière, consultez un médecin sans tarder. |
Voici les causes les plus courantes de douleurs chroniques au cou, c’est-à-dire qui durent depuis plusieurs semaines ou mois (attention, le mot chronique ne signifie pas que ces douleurs ne se guérissent pas).
- L’arthrose des vertèbres du cou. L’arthrose cervicale est plus fréquente chez les femmes. Elles en souffrent habituellement après l’âge de 35 ans. Chez les hommes, l’arthrose survient plus tard, vers la cinquantaine. De petites bosses se forment sur les vertèbres. Celles-ci entravent parfois la transmission des influx nerveux. Toutes sortes de troubles peuvent en découler : des maux de tête, des vertiges au moment des changements de position de la tête, des bourdonnements d’oreilles, des problèmes mineurs de vision, etc.
À partir de la cinquantaine, on détecte des signes d’arthrose cervicale légère chez à peu près tout le monde. Mais, la plupart du temps, l’arthrose au cou causée par le vieillissement n’entraîne pas de douleur. - Une maladie chronique systémique. Environ 10 % des cas de douleurs au cou seraient causés par une forme d’arthrite.
Les symptômes, les personnes à risque et les facteurs de risque des troubles musculosquelettiques du cou (entorse cervicale, torticolis)
Symptômes
On peut présenter l’un ou l’autre des symptômes suivants.
- Une douleur et une raideur au cou.
- Des mouvements du cou limités, parfois d’un côté plus que de l’autre.
- Des douleurs au haut de la nuque, au haut du dos, aux épaules et aux bras.
- Des vertiges et des maux de tête.
- Lorsque la racine d’un nerf est comprimée ou enflammée : des sensations d’engourdissement, des fourmillements ou une faiblesse dans un bras ou dans une main.
Personnes à risque
- Les femmes sont un peu plus sujettes aux maux de cou que les hommes.
- Les personnes pratiquant des sports de contact (football, boxe, hockey, etc.) et les joueurs de soccer qui se renvoient la balle en se servant de la tête. L’accumulation de petits incidents accroît, avec le temps, le risque d’arthrose des vertèbres du cou.
- Certains types de travailleurs, plus précisément ceux qui doivent maintenir le cou en position de flexion ou d’extension de façon prolongée (par exemple, les peintres, les tireurs de joints et les personnes qui travaillent au microscope). Le travail à l’ordinateur augmente aussi le risque de douleurs au cou et au haut du corps, surtout quand on est assis pendant plusieurs heures et qu’on a une mauvaise posture.
- Les personnes qui ont eu plusieurs petits incidents au cou risquent davantage, avec le temps, que de l’arthrose apparaisse dans les vertèbres du cou.
Facteurs de risque
Les facteurs de risque sont fort similaires à ceux des maux de dos 4.
- L’obésité.
- Le tabagisme. Il augmente le risque d’ostéoporose et de fractures; il réduit la densité minérale osseuse; il cause la dégénérescence de la colonne vertébrale.
- Un degré élevé d’insatisfaction ou de stress au travail.
- La pratique intense de certaines activités physiques dans des postures inadéquates.
- Un problème à la colonne vertébrale (scoliose, lordose, etc.).
- L’utilisation d’un oreiller inadéquat (trop plat, trop épais ou ne soutenant pas bien la tête).
La prévention des troubles musculosquelettiques du cou (entorse cervicale, torticolis)
Mesures préventives de base |
Pour éviter les problèmes musculosquelettiques au cou, il faut poser plusieurs petits gestes au quotidien :
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Les traitements médicaux des troubles musculosquelettiques du cou (entorse cervicale, torticolis)
Si la douleur au cou ne diminue pas après avoir prodigué durant quelques jours les traitements suggérés ci-dessous, il est conseillé de consulter un médecin ou un physiothérapeute.
Phase aiguë
Repos. Durant quelques jours, éviter les mouvements du cou de grande amplitude. Faire tout de même des étirements légers, dans les directions non douloureuses (tourner le cou pour regarder vers la gauche, puis vers la droite; fléchir le cou vers l’avant, ramener au centre, puis fléchir vers l’épaule gauche, et vers la droite; éviter les mouvements de rotation de la tête). Le collier cervical est à proscrire, car il crée une faiblesse des muscles et contribue à prolonger le temps de guérison. Un repos prolongé contribue en outre à raidir l’articulation et contribue au développement d’une douleur chronique.
Glace. Appliquer de la glace sur la région douloureuse trois ou quatre fois par jour, pendant 10 à 12 minutes, atténue la réaction d’inflammation. Il est bon de le faire tant que les symptômes aigus persistent. Il est inutile d’utiliser des compresses froides ou des sacs magiques : ils ne sont pas assez froids et ils se réchauffent en quelques minutes.
Trucs et mise en garde pour l’application de froid On peut appliquer sur la peau des cubes de glace enveloppés dans un sac de plastique ou dans une serviette mouillée (choisir une serviette mince). Il existe également des sachets de gel mou réfrigérants (Ice pak®) vendus en pharmacie. Ces produits sont parfois pratiques, mais il ne faut pas les placer directement sur la peau : cela pourrait causer une engelure. Un sac de petits pois verts ou de maïs congelés est une autre solution pratique et économique : il se moule bien aux formes du corps et peut être appliqué directement sur la peau. |
Médicaments pour soulager la douleur (analgésiques). L’acétaminophène (Tylénol®, Atasol®) suffit souvent pour soulager une douleur légère ou modérée. Les anti-inflammatoires, comme l’ibuprofène (Advil®, Motrin®, etc.), l’acide acétylsalycilique (Aspirine®), le naproxène (Anaprox®, Naprosyn®) et le diclofénac (Voltaren®), ont aussi un effet analgésique. Par contre, ils causent davantage d’effets indésirables et doivent donc être utilisés avec modération. L’inflammation qui fait suite à un traumatisme fait partie du processus de guérison (différent de l’inflammation en cas d’arthrite, par exemple) et n’est pas nécessairement à combattre. On peut aussi utiliser une crème à base d’anti-inflammatoires comme le diclofénac (Voltaren émulgel®), ce qui permet d’éviter les effets secondaires systémiques.
Les relaxants musculaires peuvent aussi aider, mais ils provoquent de la somnolence (par exemple, Robaxacet® et Robaxisal®). Pour pallier cet effet, il est recommandé de les prendre au coucher ou à faible dose durant le jour. Ils ne devraient pas être utilisés plus de quelques jours. Ces médicaments renferment un analgésique (acétaminophène pour le Robaxacet®, et ibuprofène pour Robaxisal®). Il faut donc éviter de les prendre en même temps qu’un autre analgésique.
Un médecin est en mesure de suggérer la catégorie de médicament contre la douleur qui convient le mieux, au besoin. En cas de douleurs plus fortes, il peut prescrire des analgésiques opioïdes (des dérivés de la morphine). Lorsqu’il y a des douleurs neurologiques, des médicaments anticonvulsivants ou d’autres médicaments qui agissent sur les neurotransmetteurs peuvent être prescrits.
Durant la phase aiguë, des massages doux peuvent aider à soulager temporairement les tensions.
Réadaptation
Lorsque la douleur au cou diminue (après 24 à 48 heures), il est bon de pratiquer des exercices d’étirement prudents et progressifs, plusieurs fois par jour.
Il peut être utile d’appliquer de la chaleur sur les muscles juste avant d’entreprendre les exercices d’étirement (à l’aide d’une compresse humide réchauffée au four ou d’un bain chaud). La chaleur détend les muscles. Une fois les exercices terminés, on peut appliquer de la glace.
On peut au besoin consulter un physiothérapeute. Il semble que le fait de combiner la marche à un programme de physiothérapie et à des exercices d’étirements faits à la maison permet de mieux soulager la douleur au cou.
Corticostéroïdes et injections
Dans certains cas, on peut songer à cette option si les traitements précédents se sont avérés inefficaces. Les corticostéroïdes ont une action anti-inflammatoire.
Une injection de lidocaïne, un anesthésique local, dans les endroits douloureux (zones gâchette) a démontré une certaine efficacité. Les médecins combinent souvent la lidocaïne avec un corticostéroide.
En cas de douleurs chroniques
Journal des symptômes. Il est bon d’être attentif aux situations qui font naître les douleurs, de les noter et d’en discuter avec son médecin ou un physiothérapeute. S’aggravent-elles le matin ou en fin de journée? L’aménagement du poste de travail devrait-il être évalué par un ergonome? Un état de stress permanent créerait-il des tensions dans les trapèzes et dans le cou?
Chirurgie. En cas de compression d’une racine nerveuse dans la région du cou qui causerait des engourdissements ou une faiblesse dans les bras, une chirurgie peut être indiquée. Un disque intervertébral abîmé peut aussi être retiré par chirurgie. On fusionne alors les vertèbres entre elles.
Troubles musculosquelettiques du cou : les approches complémentaires
Acupuncture. Une méta-analyse rassemblant les résultats de dix essais cliniques contrôlés indique que l’acupuncture soulage les douleurs chroniques au coude façon plus efficace qu’un traitement placebo. Les effets bénéfiques de l’acupuncture ont surtout été observés à court terme. On ne sait donc pas si ces effets persistent avec le temps. De plus, selon les auteurs de la méta-analyse, la qualité méthodologique des études est plutôt faible.
Chiropratique. De nombreuses études sur les effets de la manipulation cervicale ont été publiées. La mobilisation (mise en mouvement douce) et les manipulations cervicales réduiraient la douleur et l’incapacité fonctionnelle. Toutefois, selon les auteurs de revues de littérature scientifique, le manque de qualité des études ne permet pas de conclure avec certitude à l’efficacité de la chiropratique dans le traitement des douleurs cervicales. Mentionnons que l’approche chiropratique inclut des conseils sur l’ergonomie et la posture, et des exercices à pratiquer régulièrement pour prévenir et traiter le problème.
Ostéopathie. Quelques études indiquent que l’ostéopathie soulage des douleurs aiguës ou chroniques d’origines diverses. À titre d’exemple, un essai clinique aléatoire, effectué auprès de 58 patients ayant mal au cou depuis moins de trois semaines, montre que cette approche pourrait être aussi efficace qu’un analgésique connu pour traiter une douleur musculosquelettique aiguë. D’autres études indiquent que l’ostéopathie peut soulager les maux de tête, et les douleurs du cou et du dos. Cependant, des études plus rigoureuses et de plus grande envergure devront être réalisées pour valider ces résultats.
Massothérapie. Les études menées jusqu’à présent ne permettent pas de conclure à l’efficacité de la massothérapie pour ce qui est de soulager une douleur chronique au cou.
Arnica (Arnica montana). La Commission E allemande a approuvé l’usage par voie externe de l’arnica dans le traitement des troubles musculaires et articulaires, entre autres. L’ESCOP reconnaît aussi que l’arnica soulage efficacement les douleurs causées par une entorse ou des rhumatismes.
Dosage
Consulter notre fiche Arnica.
Dosage
Consulter notre fiche Arnica.
Griffe du diable (Harpagophytum procumbens). La Commission E allemande approuve l’usage de la racine de griffe du diable, par voie interne, dans le traitement des troubles dégénératifs du système locomoteur (squelette, muscles et articulations). L’ESCOP reconnaît également son efficacité dans le traitement de la douleur accompagnant l’arthrose. Plusieurs essais cliniques indiquent que des extraits de cette plante soulagent la douleur liée à l’arthrose et aux maux de dos (voir la fiche Griffe du diable). Cependant, aucune étude n’a été menée auprès de sujets ayant mal au cou. La griffe du diable réduirait la production de substances impliquées dans l’inflammation.
Dosage
Prendre de 3 g à 6 g par jour de comprimés ou de capsules de poudre de racine de griffe du diable, en mangeant. On peut aussi consommer la griffe du diable sous forme d’extrait normalisé : prendre alors de 600 mg à 1 200 mg d’extrait par jour, en mangeant.
Remarques
- On trouve surtout la griffe du diable sous forme de capsules ou de comprimés de poudre de racine, habituellement normalisés à 3 % de gluco-iridoïdes, ou à 1,2 % à 2 % d’harpagoside.
- On recommande de suivre ce traitement pendant au moins deux ou trois mois afin de profiter pleinement de ses effets.
Dosage
Prendre de 3 g à 6 g par jour de comprimés ou de capsules de poudre de racine de griffe du diable, en mangeant. On peut aussi consommer la griffe du diable sous forme d’extrait normalisé : prendre alors de 600 mg à 1 200 mg d’extrait par jour, en mangeant.
Remarques
- On trouve surtout la griffe du diable sous forme de capsules ou de comprimés de poudre de racine, habituellement normalisés à 3 % de gluco-iridoïdes, ou à 1,2 % à 2 % d’harpagoside.
- On recommande de suivre ce traitement pendant au moins deux ou trois mois afin de profiter pleinement de ses effets.
Huile essentielle de menthe poivrée (Mentha x piperita). La Commission E, l’Organisation mondiale de la Santé et l’ESCOP reconnaissent que l’huile essentielle de menthe poivrée a plusieurs effets thérapeutiques. Prise par voie externe, elle contribue à soulager les douleurs musculaires, névralgiques (situées le long d’un nerf) ou rhumatismales.
Dosage
Frictionner la partie atteinte avec une des préparations suivantes :
- 2 ou 3 gouttes d’huile essentielle, pure ou diluée dans de l’huile végétale;
- crème, huile ou onguent contenant de 5 % à 20 % d’huile essentielle;
- teinture contenant de 5 % à 10 % d’huile essentielle.
Répéter au besoin.
Dosage
Frictionner la partie atteinte avec une des préparations suivantes :
- 2 ou 3 gouttes d’huile essentielle, pure ou diluée dans de l’huile végétale;
- crème, huile ou onguent contenant de 5 % à 20 % d’huile essentielle;
- teinture contenant de 5 % à 10 % d’huile essentielle.
Répéter au besoin.
Huile de millepertuis (Hypericum perforatum). La Commission E reconnaît l’efficacité de l’huile de millepertuis, en usage externe, dans le traitement des douleurs musculaires. Les bienfaits de cette utilisation traditionnelle n’ont cependant pas été confirmés par des études scientifiques.
Dosage
Utiliser une huile de millepertuis achetée dans le commerce ou faire macérer des fleurs de millepertuis dans une huile végétale (voir notre fiche Millepertuis dans la section Herbier médicinal).
Dosage
Utiliser une huile de millepertuis achetée dans le commerce ou faire macérer des fleurs de millepertuis dans une huile végétale (voir notre fiche Millepertuis dans la section Herbier médicinal).
Saule blanc (Salix alba). L’écorce du saule blanc renferme de la salicine, la molécule qui est à l’origine de l’acide acétylsalicylique (Aspirine®). Elle a des vertus analgésiques (qui atténuent ou suppriment la douleur) et anti-inflammatoires. La Commission E et l’ESCOP reconnaissent l’efficacité de l’écorce de saule dans le soulagement, par voie interne, de douleurs au cou causées par l’arthrose ou par une maladie rhumatismale.
Dosage
Consulter notre fiche Saule blanc.
Dosage
Consulter notre fiche Saule blanc.
Éducation somatique. L’éducation somatique regroupe plusieurs approches visant à assurer une plus grande conscience corporelle et une plus grande aisance dans les mouvements. Certaines associations la recommandent pour soulager les douleurs chroniques : en effet, en pratique, cette approche a des bienfaits physiques et psychologiques. L’éducation somatique peut aussi être utilisée de façon préventive. Elle aide notamment à avoir une meilleure posture et facilite la respiration. La gymnastique holistique de la Dre Ehrenfried, la technique Alexander et le Feldenkrais font partie des approches de l’éducation somatique.
Relaxation et détente. La respiration profonde ou la relaxation progressive aident énormément à relâcher les tensions musculaires.
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