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La rosacée est une affection chronique de la peau qui se manifeste par des rougeurs sur les joues, le nez, puis le front et le menton. Au fur et à mesure que la maladie évolue, ces rougeurs deviennent permanentes, de petits vaisseaux dilatés (télangiectasies ou couperose) apparaissent sur les joues et les ailes du nez, ainsi que des petits boutons rouges (papules).
La rosacée commence généralement vers l’âge de 30 ans et touche surtout les personnes qui ont la peau et les yeux clairs et une tendance à rougir facilement.
C’est une affection qui s’aggrave au fil des ans, surtout si elle n’est pas bien traitée. Chez de nombreuses personnes, les symptômes évoluent de façon cyclique, les périodes d’aggravation alternant des périodes de rémission.
Longtemps appelée acné rosacée, la rosacée ne doit pas être confondue avec l’acné qui survient à l’adolescence. Les points noirs et les boutons blancs sont presque absents et l’évolution de la maladie diffère. De plus, les facteurs à l’origine de ces deux affections sont très différents.

Prévalence

La rosacée peut toucher toute personne âgée de 20 ans à 70 ans, mais les adultes de 30 ans à 50 ans ayant le teint clair et dont la peau a tendance à rougir facilement sont plus souvent atteints. De 3 % à 10 % de la population seraient affectés par la rosacée, à des degrés variables. Au Canada, plus de 2 millions de personnes souffrent de rosacée.
Les femmes sont plus sujettes à la rosacée que les hommes, ces derniers étant davantage enclins à développer le rhinophyma, qui se caractérise par un nez rouge, enflé et bosselé. Il s’agit d’un stade très avancé de la maladie.
Très rarement, la rosacée peut apparaître chez l’enfant, sous forme de rougeurs touchant principalement les joues. À cet âge, il est fréquent que des symptômes ophtalmologiques (yeux rouges, paupières enflées) précèdent les problèmes de peau.

Causes

Les causes sont inconnues, mais selon des recherches, la rosacée pourrait être attribuée à :
  • un dérèglement du système immunitaire concernant la peau ;
  • une hyperréactivité des vaisseaux sanguins du visage, qui se dilatent de façon excessive. C’est ce qui crée les rougeurs et la sensation de chaleur ;
  • des microorganismes (bactéries ou acariens de type Demodex folliculorum) ;
  • une réaction anormale de la peau au soleil.
Contrairement à la croyance populaire, l’alcoolisme n’est pas à l’origine de la rosacée, bien que la consommation d’alcool même modérée puisse l’aggraver.
Certaines maladies affectant la peau, comme le lupus ou la sclérodermie, peuvent s’accompagner de lésions de la peau similaires à celles de la rosacée (télangiectasies, rougeurs). Il est donc essentiel de consulter un médecin pour confirmer le diagnostic.
Enfin, l’application continuelle sur le visage de crème à base de cortisone peut entraîner des lésions cutanées qui sont visuellement identiques à celles de la rosacée. Dans ce cas, il s’agit de rosacée induite par la corticothérapie et il faut en cesser le traitement.

Évolution de la rosacée

La rosacée évolue de façon différente d’une personne à l’autre. Quatre sous-types ont été établis, qui étaient auparavant considérés comme les différentes phases de la maladie. Cependant, la maladie n’évolue jamais jusqu’au stade suprême chez de nombreuses personnes et la plupart des patients présentent une combinaison de sous-types. Il est donc impossible de prédire l’évolution de la maladie.

Sous-type 1 : rosacée érythématotélangiectasique

  • Accès de rougeur sur le visageet le cou, après un repas, après la consommation d’alcool ou de boissons chaudes ou encore lors d’un changement de température. Ces accès de rougeur, appelés bouffées vasomotrices ou congestives (flushes), durent quelques minutes, puis disparaissent. Il s’agit souvent du premier symptôme de la rosacée.
  • Une rougeur (érythème) présente en permanence sur la zone centrale du visage, en particulier sur les joues, le nez et le milieu du front.
  • Les petits vaisseaux sous l’épiderme deviennent visibles et créent de fines lignes rouges, surtout sur les joues et les ailes du nez. C’est ce qu’on appelle des télangiectasies ou de la couperose. La rougeur de la peau peut les masquer, mais les lignes rouges réapparaissent généralement lorsque la rougeur s’estompe.
  • La peau peut devenir sèche, rugueuse, avec des sensations de brûlure et de picotement.

Sous-type 2 : rosacée papulopustuleuse

  • De petits boutons rouges et solides (papules) ou remplis de pus (pustules) assiègent le visage, s’ajoutant à l’érythème.
  • Les télangiectasies peuvent être présentes.
  • La rougeur persiste sur la zone centrale du visage.

Sous-type 3 : rosacée phymateuse

  • Il s’agit du sous-type avec les symptômes les plus marqués. Les glandes sébacées du nez augmentent de volume, les pores se dilatent et la peau s’épaissit, formant des protubérances charnues ou des boursouflures (nodules). Le nez est la partie du visage qui subit le plus de déformations. Cette hypertrophie, appelée rhinophyma, affecte davantage les hommes (95 % des cas) que chez les femmes et survient après 50 ans. Le rhinophyma nécessite une correction chirurgicale.

Sous-type 4 : rosacée oculaire

  • Ce sous-type est caractérisé par une irritation des yeux, qui deviennent rouges et secs, avec un larmoiement excessif et une sensibilité à la lumière. La rosacée oculaire touche plus de la moitié des personnes atteintes de rosacée. Les autres symptômes sont des conjonctivites et une inflammation des paupières (blépharite). L’irritation demeure minime dans la majorité des cas. Si la situation s’aggrave, il faut intervenir rapidement sous peine d’entraîner une forte diminution de la vision.
  • La rosacée oculaire est parfois le précurseur des premiers symptômes cutanés.

Les symptômes et personnes à risque de la rosacée

Symptômes

  • Des rougeurs sur le visage (érythème) ;
  • Peau sèche et sensible, avec sensation de brûlure ;
  • Une tendance à rougir facilement sur les joues, mais aussi parfois sur le nez, le front et le menton. Des bouffées vasomotrices, ou accès de rougeur, sont déclenchées par les émotions et les changements de température. Elles surviennent souvent après les repas ;
  • De petits vaisseaux sanguins apparents sur le nez et les joues (télangiectasies ou couperose) ;
  • De petits boutons rouges et solides (papules) ou remplis de pus (pustules) sur le nez, les joues, le front et le menton ;
  • Des yeux secs, rouges et irrités ;
  • Un nez rouge, enflé et recouvert de nodules, au stade avancé de la maladie.

Personnes à risque

  • Les personnes au teint pâle, généralement de descendance irlandaise, écossaise ou nord-européenne (pays scandinaves) ;
  • Les personnes dont les parents ont souffert de rosacée, car certains facteurs héréditaires augmentent le risque d’en être atteint ;
  • Les femmes, qui sont deux fois plus touchées que les hommes.

Les facteurs de risque de la rosacée

L’origine précise de la rosacée reste inconnue, mais on sait que divers facteurs peuvent l’aggraver ou contribuer à des poussées de rosacée. C’est notamment le cas lors :
  • d’une exposition prolongée au soleil ou sous des lampes de bronzage. Les rayons UVA provoquent la dilatation des vaisseaux sanguins qui, après un certain temps, peut devenir permanente. La chaleur exerce aussi un effet nocif : en dilatant les vaisseaux, elle accentue l’effet des rayons ;
  • d’un brusque changement de température ;
  • de l’exposition à des conditions climatiques extrêmes (froid, pluie, chaleur, etc.) ;
  • de la consommation de boissons chaudes, de mets épicés ou d’alcool ;
  • de fluctuations hormonales(pendant la grossesse et la ménopause) ;
  • de fortes émotions (colère, gêne, stress) ;
  • de la prise de corticoïdes(cortisone). Qu’ils soient utilisés sous la forme de comprimés ou d’onguent, les corticoïdes provoquent une dilatation des vaisseaux sanguins et l’amincissement de la peau, aggravant peu à peu la rosacée.

La prévention de la rosacée

Peut-on prévenir la rosacée?
Comme les causes de la rosacée restent inconnues, il est impossible d’en prévenir son apparition.
Mesures pour prévenir l’aggravation des symptômes et en réduire l’intensité
Dans un premier temps, il faut rechercher ce qui aggrave les symptômes pour ensuite apprendre à mieux gérer ou à éviter ces facteurs déclencheurs. La tenue d’un journal des symptômes peut être fort utile.
Les mesures ci-dessous permettent souvent de diminuer l’intensité des symptômes :
  • éviter autant que possible de s’exposer au soleil. Si on le fait, toujours appliquer une bonne protection solaire FPS 30 ou plus, contre les rayons UVA et UVB, et ce, été comme hiver ;
  • éviter de consommer des boissons et des aliments qui contribuent à la dilatation des vaisseaux sanguins : café, alcool, boissons chaudes, mets épicés et tout autre produit qui provoquent une rougeur ;
  • éviter de s’exposer à des températures extrêmes et à des vents violents. Bien se protéger le visage du froid et du vent durant l’hiver. Éviter également les changements de température rapides ;
  • apprendre à se détendre pour mieux gérer le stress et les émotions fortes ;
  • éviter les saunas et les bains chauds prolongés ;
  • sauf avis médical, éviter d’appliquer des crèmes à base de corticoïdes sur le visage.
Soins du visage
  • Utiliser une eau tiède, à la température du corps, ainsi qu’un savon doux, non parfumé ;
  • Plusieurs produits de soins pour la peau contiennent des ingrédients qui peuvent aggraver la rosacée (des acides, de l’alcool, etc.). S’informer auprès de son pharmacien, de son médecin ou de son dermatologue pour connaître ceux adaptés à la rosacée ;
  • Appliquer régulièrement une crème hydratante sur le visage, de manière à diminuer la sensation de brûlure et la sécheresse de la peau. S’informer auprès de son pharmacien, de son médecin ou de son dermatologue pour obtenir une crème adaptée aux peaux atteintes de rosacée. Les lotions à base de kinétine 0,1 % (N6-furfuryladénine) semblent efficaces pour hydrater la peau et réduire les symptômes ;
  • Éviter les produits cosmétiques trop gras et les fonds de teint, qui peuvent aggraver l’inflammation.

Les traitements médicaux de la rosacée

La rosacée est une maladie chronique. Divers traitements permettent généralement d’améliorer l’apparence de la peau, ou du moins de ralentir l’évolution des symptômes. Cependant, plusieurs semaines sont souvent nécessaires avant d’observer un résultat et aucun traitement ne permet d’obtenir une rémission totale et durable. Ainsi, les traitements n’agissent pas sur les télangiectasies (vaisseaux dilatés) et la rougeur présente sur les joues et le nez ne disparaît jamais totalement. Cela étant, il est essentiel de consulter un dermatologue dès l’apparition des premiers symptômes, car les traitements sont plus efficaces lorsqu’on y a recours au stade précoce de la maladie.
Le traitement varie selon le stade de la maladie et l’intensité des symptômes. Il peut être très efficace, mais il faut savoir que dans la majorité des cas, la rosacée s’aggrave après l’arrêt du traitement. Habituellement, un traitement quasi continu est nécessaire pour maintenir un résultat satisfaisant.
Remarques
  • Une rosacée liée à la grossesse ne nécessite aucun traitement puisqu’elle disparaît généralement d’elle-même quelques mois après l’accouchement.
  • Des télangiectasies peuvent survenir à la suite d’une chirurgie au visage. Il ne s’agit pas d’une véritable rosacée et les symptômes s’estompent en général avec le temps. Il est donc conseillé d’attendre six mois avant d’entreprendre un traitement.
  • La rosacée qui affecte les bébés et les jeunes enfants est rarement problématique. Normalement, elle s’estompe au fur et à mesure que la peau de l’enfant s’épaissit.

Médicaments

Antibiotiques. Le traitement le plus couramment prescrit contre la rosacée est une crème antibiotique à appliquer sur la peau, à base de métronidazole (Metrogel®, Rosasol® au Canada, Rozex®, Rozacrème®... en France). Des crèmes à base de clindamycine peuvent aussi être utilisées. Lorsque la rosacée est étendue ou qu’elle est associée à une inflammation des yeux, le médecin peut ordonner un antibiotique oral (de la tétracyclineou parfois de la minocycline au Canada) pendant trois mois. Bien que la rosacée ne soit pas directement liée à des bactéries, les antibiotiques contribuent à réduire l’inflammation de la peau.
Acide azélaïque. Appliqué sur la peau sous forme de crème ou de gel, l’acide azélaïque (Finacea®) contribue à réduire le nombre de pustules et à atténuer les rougeurs. Cependant, ce produit est assez irritant pour la peau, il faut donc utiliser une crème hydratante adaptée en complément.
Isotrétinoïne orale. L’Accutane® au Canada, délivré sur ordonnance, est parfois utilisé à faible dose pour traiter les formes graves de rosacée (en cas de rosacée phymateuse ou de papules, pustules ou nodules résistants aux autres traitements). Comme il provoque de sérieux effets indésirables, il est prescrit sous étroite surveillance médicale. Ainsi, il accroît le risque de malformations congénitales s’il est utilisé pendant la grossesse. Les femmes en âge d’avoir des enfants qui suivent ce traitement doivent bénéficier d’une contraception efficace et procéder à des tests de grossesse réguliers pour s’assurer qu’elles ne sont pas enceintes. Il est conseillé de s’informer auprès de son médecin.
Important. Les corticoïdes, en crème comme en comprimés, sont contre-indiqués en cas de rosacée. Bien qu’ils réduisent l’inflammation de façon temporaire, ils entraînent par la suite une aggravation des symptômes.

Chirurgie

Pour réduire les rougeurs et diminuer l’apparence des télangiectasies(petites lignes rouges consécutives à la dilation des vaisseaux) ou du rhinophyma, divers traitements chirurgicaux existent.
Électrocoagulation. Il s’agit d’une technique efficace sur les télangiectasies (couperose) qui peut nécessiter plusieurs séances et qui comporte divers inconvénients, dont ceux-ci : de légers saignements, une rougeur et la formation de petites croûtes dans les jours qui suivent, un risque de cicatrices ou d’une dépigmentation permanente de la peau. Ce traitement ne peut être envisagé durant l’été (risque de formation de tâches brunes).
Chirurgie au laser. Plus efficace et moins douloureux que l’électrocoagulation, le laser laisse généralement moins de cicatrices. Il peut toutefois provoquer quelques ecchymoses ou un rougissement temporaire. Il faut compter de une à trois séances par zone à traiter.
Dermabrasion. Cette intervention consiste à user la couche superficielle de la peau à l’aide d’une petite brosse à rotation rapide.

Les approches complémentaires de la rosacée

 S-MSM (silymarine et méthylsulfonylméthane). La silymarine est un flavonoïde extrait du chardon-Marie qui, associée à un composé soufré, le MSM, a été testée en application locale sur 46 patients atteints de rosacée. Cette étude, qui date de 2008 et a été effectuée en parallèle avec un placebo, a montré que le S-MSM atténuait de façon significative les symptômes au bout d’un mois, notamment les rougeurs et les papules. D’autres essais intégrant un plus grand nombre de patients sont toutefois nécessaires pour confirmer ce constat.
 Origan. L’huile d’origan est traditionnellement utilisée pour ses propriétés anti-inflammatoires contre la rosacée, en usage interne ou externe. Aucun essai clinique n’a toutefois prouvé son efficacité.
 Maquillage spécialisé. Le recours à un maquillage spécialisé peut camoufler de façon appréciable les manifestations de la rosacée. Certaines cliniques de dermatologie offrent des séances d’information sur les produits à utiliser et la façon de les appliquer. Au Québec, on peut s’adresser à l’Association québécoise des dermatologues pour connaître les cliniques qui proposent ce service.
 Naturopathie. Selon le naturopathe J.E. Pizzorno, la rosacée serait souvent la conséquence d’un problème d’origine alimentaire ou digestive. Parmi les facteurs pressentis, figurent une trop faible acidité dans l’estomac, un manque d’enzymes digestives ainsi que des allergies ou des intolérances alimentaires. La base du traitement en naturopathie consiste à agir sur ces facteurs et à en observer l’effet sur les symptômes de rosacée. Par exemple, en cas d’hypoacidité gastrique, on recommandera la prise de suppléments d’acide hydrochlorique, de manière temporaire. Les inquiétudes et le stress chronique rendraient l’estomac moins acide. La prise d’enzymes pancréatiques avant les repas peut aussi être envisagée.
Pizzorno a également observé des améliorations chez les personnes qui ne consomment plus d’aliments contenant du sucre raffiné ni d’aliments très concentrés en sucre. Il recommande également d’éliminer les gras trans (le lait, les produits laitiers, la margarine, les fritures, etc.), car ils contribueraient à l’inflammation. Il suggère aussi d’éviter les aliments très salés. Cependant, aucune étude scientifique n’a confirmé l’efficacité de ces mesures sur les symptômes de la rosacée.
 Techniques de réduction du stress.Le stress émotionnel est un des principaux facteurs déclencheurs des épisodes de rosacée. Comme l’indique une enquête menée aux États-Unis par la National Rosacea Society, le recours à des techniques de réduction du stress peut se révéler très efficace pour réduire l’effet des émotions négatives sur la rosacée. La National Rosacea Society propose les techniques suivantes :
  • Veiller à son bien-être général (bien se nourrir, faire régulièrement de l’exercice, dormir suffisamment).
  • En situation de stress, essayer de fixer son attention sur sa respiration. On peut inspirer, compter jusqu’à 10, puis expirer et recompter jusqu’à 10. Répéter cet exercice plusieurs fois.
  • Utiliser une technique de visualisation. S’asseoir dans un endroit calme, fermer les yeux et visualiser une scène paisible et reposante, une activité agréable, etc. Poursuivre la visualisation pendant quelques minutes afin de s’imprégner de la paix et de la beauté qui s’en dégagent.
  • Faire des exercices d’étirements et de relâchements musculaires. Passer en revue tous les groupes musculaires du corps en commençant par la tête et en finissant par les pieds.
 Pharmacopée chinoise. Il semble que la préparation chinoise Chibixiaopuisse aider à réduire les symptômes de la rosacée. Dans un essai clinique mené sur 68 femmes, cette herbe chinoise s’est montrée efficace en association à un traitement antibiotique oral (minocycline et spironolactone), mais aucun essai n’a été effectué sur ce produit seul. Il est nécessaire de consulter un praticien formé en Médecine traditionnelle chinoise (MTC).

1 Commentaires

  1. Témoignage en direct: Je suis reconnaissant au Dr Itua, le puissant guérisseur à base de plantes qui m'a sauvé du VIH / SIDA et de l'herpès. J'ai été diagnostiqué de cette maladie depuis 2012 et à cause de cela, j'étais très mécontent de ma vie et je suis allé dans la recherche sur comment je peux être guéri et j'ai vu le témoignage d'une dame sur la façon dont elle a été guérie de HERPES par le Dr Itua, j'ai décidé de lui faire un essai et quand je le contacterai, il m'assure qu'il m'aidera et m'enverra le remède et j'ai cru en lui car tout ce que je voulais était d'être guéri, alors il a préparé une cure à base de plantes pour moi et m'envoyer Je l'ai reçu via DHL et m'a donné des instructions sur la façon de l'utiliser.Après une semaine, je devrais aller à l'hôpital pour un examen et après une semaine d'utilisation de la phytothérapie, je suis allé à l'hôpital pour un test et à ma grande surprise, le test a déclaré que Je suis VIH / SIDA avec HERPES négatif et je suis complètement guéri des maladies. Cela réjouit mon cœur et tout le monde à l'hôpital a été surpris même le docteur en médecine, donc les téléspectateurs Dr Itua est un homme doué de Dieu et il peut guérir tant de maladies comme le VIH / SIDA, l'herpès, le cancer de toutes sortes, la pile, le problème du rein, la syphile , DIABÉTIQUE et bien plus encore. Vous pouvez le contacter via son e-mail: drituaherbalcenter@gmail.com ou l'appeler et le whatsapp au +2348149277967. Je continuerai à partager ce grand témoignage sur Internet et dans le monde entier pour le bon travail que le Dr a fait pour moi.///

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